En octobre 2015, j’étais invitée à découvrir un lieu, le CREM, Club des Résidents étrangers à Monaco. Au programme, une conférence sur une expédition en Antarctique.
Dès que j’entends ça, je me dis, tiens et si j’allais là bas ?
Confirmation à la conférence. Un photographe anglo-monégasque Ed Wright.
Il est parti avec Robert Swan, l’aventurier des pôles en mars 2015. Il nous raconte que Robert, le1er homme au monde à avoir relié les deux pôles à pied sans assistance (un vrai aventurier des temps modernes), a dans ses yeux bleu clair, des pans de l’orbite décollés brûlés !
Et surtout que cette expédition lui a changé la vie. Une classe là bas de 12 jours sur le leadership et la protection de l’Antarctique.
Ses photos sont sublimes, le sujet et sa vision des choses.
Et ce qu’il en dit.
Abasourdie par une telle convergence, je vais timidement lui demander à la fin de sa présentation si le thé et l’Antarctique pourraient se rencontrer ? Sachant que j’ai choisi le thé comme chemin de vie à la fin du master II en développement durable.
Lui : je réfléchis…Oui, le point commun pourrait être le silence du rituel de thé. Réfléchissons ensemble.
Voilà comment tout a commencé.